Qu’est-ce qu’une allocation stratégique des actifs ??

Il s’agit de la première étape du processus de placement. Elle consiste à définir les catégories de placement et les sous-catégories (p. ex. obligations à haut rendement, actions de pays émergents) dans lesquelles les actifs doi-vent être investis, et à déterminer dans quelles proportions ces placements doivent être mélangés pour atteindre des objectifs précis (généralement un rendement) en respectant le budget de risque ou les tolérances aux risques personnelles.

Il s’agit de la première étape du processus de placement. Elle consiste à définir les catégories de placement et les sous-catégories (p. ex. obligations à haut rendement, actions de pays émergents) dans lesquelles les actifs doi-vent être investis, et à déterminer dans quelles proportions ces placements doivent être mélangés pour atteindre des objectifs précis (généralement un rendement) en respectant le budget de risque ou les tolérances aux risques personnelles.

Le principal moteur de rendement absolu

Selon Georg Stillhart, responsable Asset Allocation Advisory, Credit Suisse, les turbulences de ces dernières années sur les marchés financiers et les réactions politico-économiques qui ont suivi ont ramené les taux d’intérêt à des niveaux encore inconcevables il y a peu. Il est grand (...)

Lors de l’élaboration de la stratégie optimale, il est important de prendre en compte la situation financière indi-viduelle du client, p. ex. ses besoins de liquidités ou son horizon temporel, sans oublier sa tolérance au risque. En général, on peut s’attendre à un rendement supérieur à long terme si l’on est prêt à investir dans des placements plus risqués (p. ex. des actions ou des obligations à haut rendement) et donc à supporter plus de risques.

Mais certains risques peuvent aussi être évités en composant un portefeuille à partir de placements les moins corrélés possible, c’est-à-dire n’évoluant pas dans le même sens lors des différentes phases du marché. L’exemple le plus simple est celui des actions et des obligations ? : durant l’année de crise 2008, les actions mon-diales ont ainsi perdu 45% tandis que les emprunts de la Confédération suisse ont gagné 9%.

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